8 octobre 2008
Mon corps macère
L'homme au regard de femme,
la torture sur la croix de Dieu !
Hommage qui brûle mes entrailles
brusquement
Hôtel aux rites funèbres
et des signes dans la fumée des
vignes.
Mon corps macère
Mon corps ma serre
Il est le seul à comprendre que le silence fait que la fin commence.
Moi c'est peu
quelle moisissure étrange !
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